Vous êtes à la recherche d’un réchaud de camping pour vos prochains voyages, mais vous craignez de prendre la mauvaise décision. Bien sûr, lorsqu’il s’agit d’acheter des appareils de cuisson, nous sommes saisis par la peur d’avoir un appareil à forte perte d’énergie ou d’utiliser du gaz inutilement. Vous pourrez choisir en toute confiance, car vous aurez tous les détails nécessaires avant d’acheter votre réchaud de camping.
La taille et le poids
Ces exigences évaluent la portabilité des poêles. Si vous devez faire de la randonnée ou du camping, allez-y aussi léger que possible. L’ordinateur doit donc avoir une empreinte minimale et être aussi petit que possible. Il est clair que les versions à un seul brûleur sont plus compactes et plus faciles à emporter que les versions à deux ou plusieurs brûleurs.
De cette façon, tenez compte de la place dont vous disposez et notez la pièce qu’occuperont également les bombonnes ou cartouches de gaz nécessaires au fonctionnement du poêle. Il serait par ailleurs utile de fournir à ce dernier un sac à dos ou une valise de transport.
La puissance
Que vous vouliez faire une tasse de café, réchauffer ou préparer le petit-déjeuner, la force que vous utilisez n’est pas la même. Par exemple, mesurée en watts (W), elle doit être aussi grande que possible si vous désirez vraiment cuisiner (au moins 1 500 W), alors qu’un gadget de 1 000 watts fera l’affaire pour un chauffage de base. Choisissez souvent une cuisinière à gaz à puissance réglable. Lorsque vous choisissez de varier les procédures (chauffer, frire, griller, etc.) et les poêles, la force de la flamme sera ajustée.
La sensibilité au vent
C’est une réalité, un poêle qui ne résiste pas au vent est inutile. Il est donc important que vous soyez attentif à la sensibilité au vent du système que vous avez choisi, en particulier lorsque vous vous rendez dans une destination où les conditions ne sont pas favorables. Il s’agira notamment de maintenir un pare-brise adéquat pour éviter que la flamme ne s’échappe sous la pression de vents violents ou qu’elle ne se déplace trop loin. Notez que certaines cuisinières à gaz sont dotées d’un masque de pare-brise.
La stabilité
Votre cuisinière à gaz doit être totalement fiable pour une utilisation pratique et sûre. Il doit donc non seulement être robuste, mais aussi avoir trois ou quatre pieds bien dimensionnés lui permettant de rester en place. Mieux encore, l’intégration d’un stabilisateur est fortement conseillée si vous avez l’intention de l’utiliser sur des surfaces rugueuses.
En outre, les cuisinières, bien qu’elles soient encombrantes, sont généralement les plus robustes. Certaines avec cartouche décalée et/ou cartouche inversée sont également fortement recommandées, car même si vous perdez en place, vous obtenez une stabilité et une protection. Pour ce type de cuisinière, une ligne de service fixe la flamme au réservoir, ce qui non seulement réduit les risques de blessures et d’incendie, mais oblige aussi l’appareil à accueillir des récipients de grande capacité.
La durabilité
Que vous fassiez du camping ou de la randonnée fréquemment et pendant de longues périodes (1 à 2 mois), il est préférable de choisir un équipement durable qui peut résister à l’épreuve du temps.
La sécurité
Alors que les fabricants améliorent leurs précautions de sécurité, l’utilisation du gaz comporte un risque d’explosion qui doit être pris en considération lors de l’achat de votre cuisinière. Fondamentalement, vous serez impliqué dans la convivialité du système. Parmi les mesures généralement prises pour garantir une utilisation sûre du four, on peut citer l’introduction d’un mécanisme de verrouillage au niveau du compartiment pour recevoir la cartouche de gaz et la mise en place d’un dispositif d’arrêt automatique en cas de dysfonctionnement (par exemple, en cas de fuite de gaz).
Il est également recommandé d’utiliser une cuisinière pour la fixation et le retrait rapide de la cartouche de gaz. Cela vous permet de la ranger facilement lorsque vous n’utilisez pas votre cuisinière à gaz.
Le réchaud à gaz
Grâce à sa durabilité et à sa facilité d’utilisation, le poêle à gaz est le type de poêle que la plupart des consommateurs choisissent. Il fonctionne à l’essence, plus précisément au propane, au butane ou à l’isobutane, et selon le fabricant, le poêle se fixe à une autre bouteille ou cartouche de gaz (R907, CP250 CV300, etc.).
Il fonctionne alors comme un brûleur traditionnel, c’est-à-dire que la modification de la flamme est toujours nécessaire et permet de chauffer rapidement. Cependant, c’est un poêle qui n’est généralement pas idéal pour les expéditions à l’étranger : il est difficile de voler en avion à gaz et, surtout, il n’est pas particulièrement facile de trouver la cartouche de gaz adaptée à la configuration que nous avons !
Les réchauds à gaz sont des réchauds standards, et ce sont les plus simples à utiliser. Ils sont petits et légers, et conviennent pour la randonnée et le trekking. Ils sont dotés d’une valve filetée qui vous aide à visser et à dévisser rapidement une cartouche avant ou après utilisation. Certains réchauds à gaz ont un système de casserole intégré qui vous donne la possibilité de poser une tasse. Les réchauds conçus, même dans des conditions climatiques difficiles, garantissent un meilleur rendement et une plus grande fiabilité.
Enfin, les réchauds à cartouche portables utilisent une cartouche fixée par une ligne d’alimentation au brûleur. Cela donne des réchauds plus stables, et donc plus sûrs. Vous pouvez également utiliser des conteneurs de plus grande capacité, ce qui peut être très utile si vous voyagez en groupe.
Vous pouvez rencontrer des mélanges de propane, de butane ou d’isobutane. Pour l’utiliser, il faut brancher les tubes de la vanne, norme EN417, pour faire bouillir l’eau. Ce style de réchaud a aujourd’hui une très bonne résistance et un bon réglage de la flamme.
En randonnée, il est très pratique d’opter pour un réchaud à gaz, car il est relativement compact, mais surtout léger, et donc facile à emporter. Très simple à utiliser, lorsque vous l’allumez, vous ne rencontrerez aucun problème. Allumez rapidement les réchauds à gaz, à l’aide d’une torche ou d’un allumeur piézoélectrique.
Vous avez la possibilité de changer la grandeur de la flamme, d’une part, pour faire bouillir votre eau, pour cuisiner facilement, et d’autre part, pour faire mijoter ensuite votre bol. Il n’y a pas de fuites lorsque la cartouche est connectée au brûleur, ce qui garantit une pression suffisante pour chauffer correctement le bain.
Mais l’utilisation d’une cuisinière à gaz portable peut également présenter certains inconvénients. Sur certaines versions, les bras du réchaud ne sont pas assez longs pour supporter la collecte de la cuisson en toute sécurité. De plus, après quelques jours d’utilisation, il peut être difficile de déterminer la quantité de gaz restant pendant vos randonnées et vos ascensions.
Il vous faudra donc prendre une cartouche de rechange afin de parer à toute éventualité. Il est nécessaire, par temps venteux, de ne pas utiliser de coupe-vent pour se protéger. En effet, l’utilisation de cet outil peut créer une concentration de chaleur au niveau du poêle, et donc entraîner une explosion en cas d’excès.
Le fait de partir à l’aventure par temps froid aura également un impact sur la cartouche de gaz. Selon la combinaison, la cartouche de gaz pourrait ne pas supporter les basses températures et geler. Par exemple, le mélange de butane devient inutile à basse température. Il faudrait retirer un réservoir qui combine le propane et l’isobutane.
Le réchaud à essence
La cuisinière à gaz semble être dangereuse, car il faut emporter le combustible avec soi. Comme il fonctionne généralement presque aussi bien avec du sans-plomb qu’avec de l’essence C, il n’est pas trop dangereux tant que vous le traitez correctement, et surtout, il est encore plus pratique que le réchaud à gaz.
C’est notamment le cas lors de la marche ou du trekking en altitude ou dans les régions polaires, où les basses températures interdisent à l’essence de fonctionner alors que le carburant n’a aucun problème ! Si c’est un poêle beaucoup plus coûteux à l’achat, le coût de fonctionnement par la suite reste très faible, et il peut être utilisé partout dans le monde car il est facile de trouver du combustible !
Le réchaud à bois
Le poêle à bois est le poêle le plus respectueux de l’environnement, celui qui convient le mieux aux personnes qui choisissent d’utiliser du charbon propre et naturel. Il vous permet également de voler léger et d’être totalement autonome, car il vous suffit de ramasser des branches pour rendre les choses fonctionnelles. (Certaines versions peuvent également être utilisées avec des comprimés d’alcool solidifié pour assurer brièvement une pénurie de combustible).
Le feu de bois procure presque aussi un moment de confort et la cuisson est très efficace, car l’augmentation de la chaleur est rapide. Ce poêle reste un sujet de préoccupation et doit être traité avec prudence, soit pour sa propre protection, soit pour éviter les incendies accidentels. (Il est également interdit dans les zones sensibles au feu).
FAQ
Quel réchaud pour le camping ?
Si vous êtes deux campeurs ou plus, le nombre optimal de feux se situe entre deux et trois. Si vous avez moins de six personnes, un réchaud à gaz à deux brûleurs est plus que suffisant. Si votre population atteint 6 personnes, utilisez un réchaud à 3 feux.
Quel réchaud pour le Trek ?
Le réchaud à essence. Les randonneurs l’apprécient surtout pour sa facilité d’utilisation, son efficacité et sa fiabilité. Il n’atteint ses limites qu’à haute altitude et à des températures négatives. Il y a une très grande cuisinière à gaz.
Quel réchaud pour randonner ?
Le P3RS est le plus connu, couramment utilisé par les randonneurs légers. C’est un réchaud à alcool fabriqué en aluminium. Il est très léger, mais son efficacité n’est pas toujours optimale.